Evolutions du site Museplume

Rétro-calendrier

Si vous connaissez déjà le site, vous le saviez en sommeil.

Je vous propose de voir l’historique des évolutions du site Museplume via une petite rétrospective, un regard dans le rétroviseur : ce à quoi ce lieu aspire aujourd’hui, et son histoire! Et cela grâce à un outil utile pour tout archéologue du web : la Wayback Machine, ou Machine d’il y a fort longtemps, qui permet de voir les changements d’un site au cours du temps.

Renaissance 2019 –

Après avoir tergiversé longtemps, (faut-il faire un blog, un site vitrine, un site démo de plan séquence à la « the glitch » … ) Museplume devient finalement un site « ouvrage » . Tout comme écrire se suffit déjà en soi, réaliser un site est un travail qui se suffit en soi. L’exploration des outils, du design, des médias, des thèmes, des productions que l’on peut partager sur ce support est une aventure formatrice et créatrice ! Voir la page A propos pour plus de détails.

L’inspiration : elle provient des 10 dernières années à chiner sur la créativité, sur les aspects techniques comme artistiques. Je souhaite partager comment ce que j’ai exploré peut être utile.

L’outil : je me suis lancée dans la vague WordPress, après des essais sur des sites amis, dont nous reparlerons. Il fallait avec tout cela passer à la sécurité https et à la protection des données avec la RGPD.

Les archives des versions précédentes seront migrées au gré de leur pertinence !

Métamorphose 2009 – 2016

Ce fut la phase « j’explore, je me cherche, je quitte le perso pour être définitivement pro « . C’est là qu’un outil comme the Wayback machine intervient. Cette machine à remonter le web permet de trouver un site comment il était… bien avant.

Voici à quoi ressemblait le site en 2014 :  

L’inspiration : le monde du blog, les outils du scénariste, l’expérience des tournages, les rencontres artistiques, le transmedia.

L’outil : Joomla. Proche d’un WordPress, je l’avais choisi car j’adorais les thèmes proposés par Joomla Bamboo (on était en 2009). Lorsqu’on veut exprimer son travail, le design devient rapidement essentiel, et le métier de web designer ne s’apprend pas sur le coin d’une table.

Au temps des cavernes 2005 – 2008

Avant tout ça, il y eut les premiers pas sur le web. Museplume n’existait pas encore, le site présentait des « Petits textes entre amis », avec un design simple et qui m’avait pris beaucoup de temps. Mais il présentait les premiers textes et m’a fait passer le cap d’oser montrer mes écrits, épreuve terrible pour bnombre d’auteurs.

C’est tellement vieux que la Machine d’il y a fort longtemps en a gardé une trace de contenu écrit, mais pas de visuel.

Voici quelques éléments de design que j’ai retrouvés :

L’inspiration : plusieurs mois de travail d’écriture sur le site de l’Atelier. C’était une liste de diffusion qui publiait chaque semaine une contrainte. Nous soumettions nos textes et nous nous commentions entre nous. Cela a produit beaucoup de textes en peu de temps, que j’ai publiés sur le site, au temps des cavernes.

L’atelier, animé par Valérie, c’était ça :

L’outil : Dotclear. Développé par un français, Olivier Meunier, puis par toute une équipe, je pensais qu’il n’existait plus, que c’était un ancêtre. Je l’avais choisi parce que la communauté française en parlait, et ce fut les premières découvertes de ce que voulait dire techniquement d’avoir un blog : un hébergeur pour abriter le site, un langage pour générer des pages et une base de données pour gérer les contenus.

Cet historique des évolutions du site Museplume m’a permis de réaliser que la communeauté Dotclear existe toujours, peut-être faudra-t-il retourner l’explorer. Eh oui, comme dans le réel, j’aspire à consommer plus local, plus bio (nous reparlerons de green IT) !